Les résultats contradictoires et la rareté des études sur les effets de l’exposition prénatale à de faibles quantités d’alcool sur le développement neuropsychologique de la progéniture nécessitent de grandes études prospectives, ainsi que des études incluant la neuro-imagerie et l’approche « multi-omique* » pour disséquer quels mécanismes neurobiologiques produisent les phénotypes liés à l’explosion à l’alcool et identifier les biomarqueurs. Enfin, il reste à vérifier s’il existe un seuil de consommation inoffensive d’alcool pendant la grossesse.

E. Comasco,1 J. Rangmar,2 U. J. Eriksson3 and L. Oreland1

2017 Scandinavian Physiological Society. Published by John Wiley & Sons Ltd, doi: 10.1111/alfa.12892. French translation by A. Fourmaintraux

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