Jocelynn L. Cook

CMAJ 2015. DOI:10.1503 /cmaj.141593
Malgré 40 ans de recherche, il y a encore des lacunes dans les connaissances et les preuves relatives à la diagnostic de l’ETCAF. Pour des raisons éthiques évidentes, il est impossible d’effectuer des études dose-réponse titrées de l’exposition prénatale à l’alcool et la tératogénicité subséquente qui serait sans aucun doute apporter des réponses plus définitives. En dépit de cette limitation apparente, les chercheurs et les cliniciens continuent d’étudier les effets de l’exposition prénatale à l’alcool en utilisant différents modèles et méthodologies, et les preuves continuent à émerger qui améliore la compréhension et la base de connaissances de l’ETCAF. Par exemple, les biomarqueurs de diagnostic sont à l’étude, de même que des outils supplémentaires pour évaluer le traitement sensoriel et dysfonctionnement d’intégration, et les troubles du sommeil chez les personnes FASD.22 De plus amples recherches sont nécessaires pour déterminer l’association entre l’exposition prénatale à l’alcool et d’autres la santé mentale problèmes. Les bases de données contenant diagnostic besoin de données à analyser pour les corrélations entre les caractéristiques et les modèles de déficits neurodéveloppementaux faciales sentinelles.

La recherche est en cours et leurs résultats peuvent révéler de nouvelles approches qui peuvent améliorer les technologies disponibles pour le dépistage, le diagnostic et la gestion.

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